19/03/2024
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QUI SOMMES-NOUS

Le CIPPA est né d’un besoin d’analyse, de concertation, de réflexion et d’investissement citoyen.

Notre histoire

  • Début d’année 2008 de nombreuses conversations avec Alain Plaisir ont eu un effet fédérateur autour de ses analyses et de sa vision de l’avenir. Des amitiés se nouent et des idées sont lancées.
  • Fin 2008 celui-ci écrit un livre fondateur, Conquête du marché intérieur, qui propose des solutions en matière économique et pose les prémisses de nouvelles perspectives politiques. Livre très prisé dans les coulisses de la sphère économique et politique ou certains s’inspirent de ses idées, tandis que d’autres les mettent en débat.
    Les trois autres livres qui l’ont précédé – Propositions pour le changement, L’octroi de Mer et L’Accord de Partenariat Economique – montrent l’étendue du travail théorique sur les grands dossiers de la Guadeloupe.
  • Début d’année 2009, Le LKP, dont Alain Plaisir est l’un des co-fondateurs, soulève les problèmes cruciaux de la Guadeloupe dont les causes furent déjà présentées de manière explicite dans le livre Conquête du marché intérieur.
  • Mai 2009 le groupe constitué spontanément autour d’Alain Plaisir lui demande d’intervenir dans le débat public et politique relevant des prochaines élections régionales.
  • Septembre 2009 un Comité d’Initiative pour un Projet Alternatif émerge et s’organise pour exister médiatiquement.
  • Fin novembre 2009 le Comité d’Initiative pour un Projet Politique Alternatif  – CIPPA est  officiellement créé. Il lance son appel fondateur et obtient un écho important dans l’opinion publique.
  • Décembre 2009, le CIPPA s’ouvre à toutes les forces-vives de la Guadeloupe et recueille ses premières adhésions.
  • Février-mars 2010, le CIPPA participe aux élections régionales. Il recueille les suffrages de 1 958 citoyennes et citoyens de Guadeloupe. Un nombre de suffrages, certes insuffisant pour obtenir le moindre siège au sein de l’Assemblée régionale, mais qui représente un nombre estimable d’adhérents aux idées d’un parti politique d’à peine 3 mois d’existence.

Le comité d’initiative pour un projet alternatif regroupe des hommes et des femmes de toutes générations pour un combat émancipateur et une aspiration partagée autour de valeurs, de principes et d’une éthique afin de promouvoir l’avènement d’une nouvelle société guadeloupéenne.

Nous lançons un appel à l’ensemble de la population guadeloupéenne pour maintenir et protéger cette conscience collective qui nous anime et qui exprime un besoin de responsabilisation, de construction et d’apaisement.

C’est par notre devoir de transparence et notre exigence démocratique que nous révélons à la Guadeloupe notre ambition pour ses enfants d’aujourd’hui et ses héritiers de demain.

Venez nous rejoindre car c’est votre contribution qui nourrira notre engagement et notre combat.

Une autre voie existe et il nous faut maintenant l’emprunter ensemble. Inventer un nouveau modèle d’émancipation et un nouveau modèle économique et social, c’est le double défi qui nous attend.

 

 

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3 thoughts on “QUI SOMMES-NOUS

  1. Bonjour,
    le port autonome de Guadeloupe planche sur une extension de ses activités avec un port en eaux profondes. J’ai assisté à une réunion à Trois Rivières et j’ai pu me rendre compte que l’assistance n’y était pas favorable. Le compte rendu des débats (fin mars 2012) est plus nuancé et laisse entendre que c’est acceptable.
    Pourquoi n’y a-t-il pas de partenariat avec la Martinique, qui aura plus de facilité à transformer son port ?
    Est-ce que la seule logique qui existe c’est “manger ou être mangé” ?
    La troisième voie, celle du partage, du partenariat semble occultée.
    Quelle est la position du CIPPA sur ce projet qui est attrayant par la masse d’emplois créés mais qui reste dévastateur et utopiste ? Cela aura un coût important pour le Guadeloupéen qui devra rembourser l’emprunt contracté par le port autonome.
    Merci de votre réponse (Stanislas GRUSZKA _- Front de Gauche).

    1. le CIPPA est favorable à un port en eau profonde, parce que la Guadeloupe doit-être en capacité d’accueillir des navires (porte-conteneurs ou autres) d’un tirant d’eau supérieur à 14 mètres, ce qui n’est pas le cas actuellement.
      Beaucoup de gens (en toute bonne foi) sont contre. Ce qu’ils ne savent pas , c’est que la CGM-CMA est également contre. Le grand public ignore que la CGM-CMA est actuellement en situation de monopole sur le port (comme à l’époque du monopole de pavillon.) et qu’elle ne souhaite pas, dans le cadre d’un grand port, que d’autres opérateurs fassent leur apparition.
      Quant à l’envahissement du port par des marchandises extérieures, ce n’est pas une question d’infrastructure, mais le problème du libre-échange qui ouvre les frontières de la Guadeloupe aux importations venant du monde entier, y compris de l’Union européenne.
      Aux dernières nouvelles, nous apprenons que le port ne sera pas aussi grand que prévu, la CGM-CMA étant arrivée à ses fins.

      1. Je comprends la position du CIPPA, qui peut être d’ordre économique en appelant à la concurrence.
        J’ai assisté à la Réunion à Trois Rivières le jeudi 12 janvier et d’entrée on a su qu’il n’était pas question de rivaliser avec la Jamaïque avec des tirants d’eau de 14 m. Il était prévu de faire un port de “seconde zone” avec au maximum 10 m.
        Je persiste à penser qu’au lieu de faire des appels d’offre entre Guadeloupe et Martinique et créer de la concurrence entre les peuples, on aurait tout intérêt au partenariat, tant dans la construction que dans la gestion. Il est indéniable que le port de la Martinique sera plus facile à mettre aux normes que celui de la Guadeloupe.
        Il y a des impondérables contre lesquels on ne peut pas agir mais on doit lutter pour rétablir les égalités lorsque la nature n’offre pas les mêmes avantages.
        C’est pour moi le fondement même d’une société : répartir les richesse pour que les plus défavorisés ne soient pas trop pénalisés.
        On ne peut pas tous vivre dans le même endroit, le plus agréable, le plus …. et il faut bien partager pour que chacun puisse vivre à l’endroit où il réside.
        C’est ma façon de penser mais qu’il y ait à dénoncer un monopole local avec CGM-CMA fait aussi parti du combat.

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