LES VOIES ET MOYENS DE L’AUTONOMIE DE L’ARCHIPEL DE LA GUADELOUPE
L’archipel de la Guadeloupe est passé d’une économie de plantation a une autre forme d’économie de rente alimentée
par les transferts publics et sociaux. Ce qui a pour conséquence de maintenir notre pays dans la dépendance.
Nous le dénonçons régulièrement dans toutes nos publications : le développement de notre pays ne peut pas être basé
sur les dérogations, habilitations qui sont partielles et limitées dans le temps. Ce ne sont ni celles-ci, ni les modifications
à la marge des institutions comme le proposent certains élus avec l’assemblée ou la collectivité unique ou comme le
propose le Président de la République française avec la “différenciation”, que nous aurons les outils indispensables pour
résoudre les problèmes structurels de la Guadeloupe.
Notre organisation politique ne se contente pas d’une critique radicale de cette économie (qui est en réalité une
alliance objective entre les exportateurs qui considèrent notre territoire comme un marché captif et les profiteurs de
l’importation), mais nous formulons de multiples propositions et posons les fondations solides d’un véritable projet
économique et politique.
Dans “LES VOIES ET MOYENS DE L’AUTONOMIE DE L’ARCHIPEL DE LA GUADELOUPE”, le CIPPA met à nu les
mécanismes de la dépendance, les freins au développement et démontre chiffres à l’appui, avec des exemples concrets,
les atouts dont nous disposons.
La réalisation de notre objectif d’autonomie (alimentaire, énergétique, fiscale, douanière…) n’étant possible que dans le
cadre d’un nouveau statut par rapport à la France (article 74), mais aussi par rapport à l’Union Européenne, le CIPPA se
prononce également pour un statut de PTOM (Pays et Territoire d’Outre-Mer).
More Stories
Terres de luttes, de Romain Jeanticou
Bonjour à tous ,
Je vous propose de prendre connaissance de l’extrait du dernier livre de Romain Jeanticou ( grand reporter à Télérama ) qui vient de paraître , « Terres de luttes »
DM
LA MARE AU PUNCH de Bernard LECLAIRE
Mon vœu littéraire serait de sortir enfin du mouvement restrictif, sclérosé et sclérosant de la Créolité. Il est grand temps de tourner la page vers notre « Caribénitude » retrouvée et affirmée. Voilà le nouveau concept littéraire qui tourné vers la Caraïbe historique, géographique, mais aussi culturelle et sociologique, dans l’espoir d’un nouvel humanisme tenant compte respectueusement de toutes les identités, comme un édifice monde indispensable à la survie de l’Homme.
Parution du dernier ouvrage d’Alain Plaisir, l’analyse de Perspektives
Nous reproduisons un article publié dans La Revue de débats et d'idées Perspektives à l'occasion de la parution de l'ouvrage...
LETTRE OUVERTE AUX MARIE-GALANTAIS
L’amicale ECOLAMBDA, association agréée pour la protection de l’environnement, œuvre depuis sa création pour faire connaître, développer et protéger notre...